« Enfin ! Merci d’avoir ouvert cette boite, j’avais besoin d’air, ça commençait à emboucaner la mort dans mon rade. Moi, c’est Fanette, et je tiens ce bistrot. En même temps, avec vous, bande de piliers morbides qui squattez mon troquet tous les soirs, ça peut pas sentir la violette. Oui, vous : Derrick, Maurice, Albert, Mike, Eugène et le petit bleu Ahmed. Une belle bande de dégénérés.

Ça a été dur mais maintenant, je sais ce que vous foutez de vos sinistres journées : vous videz des baraques dans lesquelles des cadavres pourrissent depuis un bon moment, pour vendre votre butin aux enchères… J’ai cru comprendre que demain vous irez dans une piaule de bourge où une pauvre femme s’est fait dessouder par son mari. Un chasseur qui passait un peu trop de temps à jouer avec son fusil. Bizarre cette affaire. Il l’a prise pour une randonneuse ou il a fait exprès ? J’aurais bien dit que c’est toujours une cartouche qui n’a pas été dans l’buffet d’un cerf ou d’un sanglier, mais il a visiblement aussi refroidi son cabot ! C’est louche, je vais me rencarder pendant que vous « taffez » !

Je sais que c’est plus fort que vous : vous allez mettre dans vos fouilles des trucs qui vous font envie. Alors va falloir être plus malin que les autres pour gagner un max à leurs dépens… Va falloir avoir de grandes poches, aussi. »



Vous jouez vos cartes de Vice sur les objets que vous convoitez , en sachant que le nombre d’objets disponibles varie en cours de partie et que certains ne sont pas visibles augmentant ainsi le risque de tomber sur de mauvaises surprises.

Heureusement votre amie la Mouche vous permettra de zieuter le dessous des cartes pour en savoir plus…

A moins que ce ne soit déjà trop tard !